J’sais pas moi. Je ne fais que suivre.
Tu ne sais pas combien de temps s’écoule. En l’espace de longues minutes, tu te perds dans cette douleur incessante qui envahit tout ton corps. Tu n’arrives plus à bouger. Tes jambes pèsent une tonne. Alors tu ne trouves rien de mieux que de rester contre ce mur à attendre que tout ça passe. Tu dois absolument sortir d’ici. Tu vois que tout le monde de ton entourage a plus ou moins pris la fuite. Tant mieux. Ils seront bien plus en sécurité dans l’Entrée. Du moins c’est ce que tu penses. Que le carnage n’a pas franchit les portes de cet amphithéâtre. Ta tête se pose contre le mur. Tu essaies de ne pas écouter les sons de la mort autour de toi. Tu tentes de te relever mais un étourdissement revient et le seul résultat que tu obtiens est un début de chute. Le mur te retient à nouveau.
« Bordel mais qu’est-ce que ça veut dire... »
Tu te poses la question mais tu te doutes que tout ce qui arrive est lié à ces pertes. Pile quand les morts surviennent, tu te sens si mal... ? Est-ce dont ça le fameux jeu... ? Quelle ironie. Toi qui n’aimes pas les échecs. Un sourire jaune se dessine sur tes lèvres avant qu’elles ne forment des traits de surprise quand tu sens que quelqu’un te soutient. Ton regard dépareillé se pose sur la Commandante qui n’est pas encore partie.
« Allez Aloïs, ce n'est pas le moment de flancher. J'ai pas envie de m'expliquer au Commandant Alexander sur votre mort. De plus, une fois au Central, j'aurais beaucoup trop de papiers à faire. »
« Oh. Voyez-vous ça. C’est une façon très aimable de dire que vous vous inquiétez pour moi. »
Tu souris. C’est de l’ironie mais aussi une façon de dire merci pour cette aide précieuse. Car sans le soutien de la Commandante, tes jambes te porteraient très mal. Tu sens que ton équilibre vacille.
{ Aloïs quitte l’Amphithéâtre avec Kaelis pour aller dans l’Entrée }
Tu fais un peu peine à voir et tu dois bien avouer qu’arriver non loin de Thomas de cette manière n’est pas la meilleure forme de virilité. Mais tu peines vraiment. Et puis tu t’en fous un peu. Il va bien alors ce qu’il pense ne te touchera pas plus que ça. Tu dévies plutôt le regard. Et ce qui te fait légèrement observer la Commandante est le fait qu’elle semble tout autant peiner que toi. Serait-elle aussi touchée par la même chose que toi ? Est-ce que... ton ami aurait souffert de ça tout à l’heure lors de sa « faiblesse » ? Trop de questions d’un coup. Tout est lié, tu en es certain. Mais pas de réponse. Tu finis par te détacher doucement de Kaelis pour la laisser se reposer en ne manquant pas de la remercier. Tu t’adosses rapidement contre un mur après avoir jeté un coup d’œil aux environs. Un coup d’œil qui te laisse perplexe. Tu frottes légèrement tes yeux.
« Tout le monde... est sorti ? »
Tu n’arrives pas à savoir. Tu vois très mal. Tu frottes encore tes yeux. Depuis quand ton oeil blanc... voit blanc ? Et noir ? Putain c’est quoi ça ?
« On se casse d’ici. J’en ai ma claque. »
Ah. Violence. La migraine s’intensifie.
« Bordel mais qu’est-ce que ça veut dire... »
Tu te poses la question mais tu te doutes que tout ce qui arrive est lié à ces pertes. Pile quand les morts surviennent, tu te sens si mal... ? Est-ce dont ça le fameux jeu... ? Quelle ironie. Toi qui n’aimes pas les échecs. Un sourire jaune se dessine sur tes lèvres avant qu’elles ne forment des traits de surprise quand tu sens que quelqu’un te soutient. Ton regard dépareillé se pose sur la Commandante qui n’est pas encore partie.
« Allez Aloïs, ce n'est pas le moment de flancher. J'ai pas envie de m'expliquer au Commandant Alexander sur votre mort. De plus, une fois au Central, j'aurais beaucoup trop de papiers à faire. »
« Oh. Voyez-vous ça. C’est une façon très aimable de dire que vous vous inquiétez pour moi. »
Tu souris. C’est de l’ironie mais aussi une façon de dire merci pour cette aide précieuse. Car sans le soutien de la Commandante, tes jambes te porteraient très mal. Tu sens que ton équilibre vacille.
{ Aloïs quitte l’Amphithéâtre avec Kaelis pour aller dans l’Entrée }
Tu fais un peu peine à voir et tu dois bien avouer qu’arriver non loin de Thomas de cette manière n’est pas la meilleure forme de virilité. Mais tu peines vraiment. Et puis tu t’en fous un peu. Il va bien alors ce qu’il pense ne te touchera pas plus que ça. Tu dévies plutôt le regard. Et ce qui te fait légèrement observer la Commandante est le fait qu’elle semble tout autant peiner que toi. Serait-elle aussi touchée par la même chose que toi ? Est-ce que... ton ami aurait souffert de ça tout à l’heure lors de sa « faiblesse » ? Trop de questions d’un coup. Tout est lié, tu en es certain. Mais pas de réponse. Tu finis par te détacher doucement de Kaelis pour la laisser se reposer en ne manquant pas de la remercier. Tu t’adosses rapidement contre un mur après avoir jeté un coup d’œil aux environs. Un coup d’œil qui te laisse perplexe. Tu frottes légèrement tes yeux.
« Tout le monde... est sorti ? »
Tu n’arrives pas à savoir. Tu vois très mal. Tu frottes encore tes yeux. Depuis quand ton oeil blanc... voit blanc ? Et noir ? Putain c’est quoi ça ?
« On se casse d’ici. J’en ai ma claque. »
Ah. Violence. La migraine s’intensifie.